Pension familiale : nouvelles règles sur la manière dont les filles peuvent réclamer le montant de la pension d'un employé du gouvernement

Pension familiale : Le Département des retraites et du bien-être des retraités (DoPPW) a introduit de nouvelles directives concernant la tenue des dossiers des membres de la famille des retraités du gouvernement. La directive précise que le nom d'une fille ne peut être rayé de la liste des membres de la famille éligibles à la pension familiale d'un fonctionnaire.

Une fois qu'un employé du gouvernement indique le nom de sa fille sur le formulaire 4, elle est officiellement reconnue comme un membre de la famille, quelle que soit son admissibilité à la pension. Une fille reste éligible à la pension familiale jusqu'à ce qu'elle se marie, se remarie, trouve un emploi ou souffre d'un handicap mental ou physique.

Les filles célibataires, veuves ou divorcées et âgées de plus de 25 ans peuvent avoir droit à une pension familiale, à condition que leurs frères et sœurs soient âgés de plus de 25 ans ou financièrement indépendants. Les enfants handicapés ont notamment droit en priorité à la pension.

Selon la réglementation, dès son entrée en service, un employé du gouvernement doit fournir des informations sur les membres de sa famille, y compris son conjoint, ses enfants, ses parents et ses frères et sœurs handicapés (indépendamment de son droit à une pension familiale). De plus, l'employé doit mettre à jour ces informations ainsi que ses documents de retraite avant sa retraite.

«La fille est considérée comme membre de la famille du fonctionnaire du gouvernement selon les indications du fonctionnaire dans le formulaire prescrit. Par conséquent, le nom de la fille restera inclus dans les coordonnées des membres de la famille », indique le mémorandum du bureau. Il a en outre précisé que l'éligibilité à la pension familiale sera décidée après le décès des retraités/retraités familiaux, conformément aux règles.

Détails clés révisés

> Selon les lignes directrices, une fille (sauf si elle souffre d'un handicap mental ou physique) peut recevoir une pension jusqu'à son mariage, son remariage ou le début de sa vie.

> Conformément aux règles de la fonction publique centrale (pension), 2021, la définition de la famille englobe les filles célibataires, mariées et veuves, y compris les belles-filles et les filles adoptives. Néanmoins, des questions ont été soulevées pour obtenir des éclaircissements sur la suppression du nom d'une fille de la liste des membres de la famille après sa retraite.

> En cas de divorce ou de procédure judiciaire en cours, les salariées ou les retraitées peuvent demander une pension familiale pour leurs enfants en cas de décès de ceux-ci. Cela s'applique également aux cas de protection contre leurs maris.

> S'il n'y a pas d'enfants éligibles vivants au moment du décès de la femme, la rente familiale revient au veuf. La pension sera versée dans un premier temps au veuf s'il est le tuteur légal d'un enfant mineur ou handicapé.

> En cas de perte de la tutelle du veuf, la pension sera gérée par le tuteur désigné.

Pension pour adultes

Une fois devenus adultes, les enfants éligibles qui ont encore droit à la pension recevront des transferts directs.

Dans le cas où tous les enfants éligibles n'ont plus droit en vertu de la règle 50, le veuf recevra la pension familiale jusqu'à son remariage ou son décès.

Ce protocole actualisé garantit une allocation systématique des pensions, en mettant l'accent sur le bien-être des enfants dans différentes situations familiales.

Dans l'Ancien Régime de Pensions (OPS) des agents de l'État, le taux de la pension familiale est initialement fixé à 30 % du dernier salaire du salarié décédé. Toutefois, si le salarié a travaillé au moins 7 ans, la pension familiale peut être portée à 50 % du dernier salaire perçu. Ce taux majoré de 50 % sera accordé pendant une période de 7 ans suivant le décès du salarié ou jusqu'à ce que le retraité atteigne 67 ans, selon la première éventualité. Au-delà de cette période, la pension familiale reviendra au taux normal de 30% du dernier salaire.